
27 rue Saint Sulpice
Porche très ouvragé avec un très bel oculus. Hôtel de Fougeres. 17è siècle. Architecte Charles Chamois

8 place Saint-Sulpice
Porte au décor néo-renaissance très chargé. Petites têtes masculines et féminines en saillie. En haut de la porte, un buste masculin ressemble curieusement à la figure du Christ

14 rue Servandoni
Vantaux finement sculptés de deux médaillons représentant, à gauche, Sainte Anne instruisant la Sainte Vierge et, à droite, Jean-Nicolas Servandoni montrant le plan de Saint Sulpice. Il était l’architecte de Saint Sulpice.


2 rue du Canivet
Porte d’un ancien couvent. 16è siècle

3 rue du Canivet
Porte de l’Hôtel de Beauveau puis de Breteuil. 1730

4 rue de Buci
Encadrement et dessus de porte très soignés pour cette petite porte.

11 carrefour de l’Odéon
Curieux mascaron sous l’arrondi de l’encadrement de la porte : visage masculin coiffé à l’égyptienne avec une bouche en forme de coeur.

15 rue de Mézières
Curieux portrait masculin inscrit dans un cartouche encadré de rinceaux. La porte est flanquée de 2 doubles colonnes aux chapitaux de style ionique. Architecte AF de Létoille. 1879

70 rue Bonaparte
Linteau orné d’un important motif de roseaux ondulant comme s’ils étaient sous l’eau

97 rue de Rennes
Linteau orné d’un médaillon représentant un profil féminin coiffé à la romaine. Le médaillon est encadré par des palmes
Autres portes intéressantes :
| 1 rue Danton | Porte arrondie avec verrière en demi-lune au-dessus. Architecte François Hennebique |
| 1 rue Guénégaud | Un chat s’enroule au-dessus de la clé au-dessus de la porte. |
| 10 rue Leverrier | Deux têtes de personnages à la base de l’arc qui surplombe la porte. Architecte H.Tassu. 1888 |
| 105 rue de Rennes | Deux cariatides engainées encadrent la fenêtre de l’imposte, une main retenant le drapé de leur tunique, l’autre soutenant le chapiteau au-dessus de leur tête. Elles sont accoudées à une colonne cannelée ornée d’une guirlande de laurier torsadée et surmontée d’un chapiteau dorique. Cariatides identiques à celles situées 20 rue d’Assas dans le 6è |
| 110 boulevard Raspail | Cartouche orné d’un portrait d’enfant en médaillon. Architectes H. Clyatt P. Divoien. 1906 |
| 139 boulevard du Montparnasse | Porte surmontée d’un œil de bœuf posée sur une palette de peintre en souvenir du peintre Louis Français qui a vécu dans cet immeuble au 19è siècle |
| 14 rue Monsieur le Prince | Décor en perspective sur les battants de bois de la porte |
| 15 rue Duguay Trouin | Diane chasseresse. Architecte A. Walwein. 1900 |
| 16 rue Madame | porte arrondie |
| 16 rue Stanislas | Tête de faune au-dessus de la porte |
| 17 rue Duguay Trouin | Colonnes en pilastres et angelots qui encadrent un médaillon avec le numéro de l’immeuble |
| 18 rue Saint Benoit | Dans un fronton triangulaire un pélican les ailes déployées nourrit quatre petits pélicans. |
| 18 rue des Canettes | Petite porte sumontée d’un mascaron représentant Athéna. Au-dessus de la porte une enseigne de style rocaille représente des petites canes qui ont donné leur nom à la rue. Epoque 18è siècle. |
| 184 boulevard Saint Germain | Siège de la Société de géographie Porche spectaculaire avec son globe terrestre qui surmonte le linteau et les deux grandes statues allégoriques qui tiennent des rames et qui encadrent la fenêtre arrondie au-dessus de la porte. |
2 rue Leverrier | Porte flanquée de deux colonnes néo classiques et surmontée d’un linteau orné d’un mascaron représentant un visage masculin moustachu aux yeux bridés. Œil de bœuf sur décor sculpté au-dessus de la porte. |
| 20 rue d’Assas | Deux cariatides engainées encadrent la fenêtre de l’imposte, une main retenant le drapé de leur tunique, l’autre soutenant le chapiteau au-dessus de leur tête. Elles sont accoudées à une colonne cannelée ornée d’une guirlande de laurier torsadée et surmontée d’un chapiteau dorique. Cariatides identiques à celles situées 105 rue de Rennes dans le 6è |
| 20 rue de l’hirondelle | Salamandre au-dessus du portail de ce qui était l’hôtel de la duchesse d’Etampes, une des maîtresses de François 1er. |
| 3 rue de Medicis | Deux bustes d’homme encadrent une porte cochère avec deux oculus en haut des battants de la porte. |
| 37 rue du Cherche Midi | Visage de femme les yeux tournés vers la gauche surmonté d’un cartouche avec l’inscription « J’écoute ». Caducées sur la ferronnerie de la porte. |
| 4 rue Bernard Palissy | Porte cochère surmontée d’une grande fenêtre en imposte. La fenêtre est elle-même surmontée d’un large médaillon orné en son centre d’une anguille, de coquillages et de poisson. Deux cariatides engainées tiennent le médaillon. |
| 4 rue des Chartreux | Deux petites têtes d’angelots ornent les consoles qui soutiennent l’entablement du linteau. Un ange décore la façade. Il brandit une branche de laurier au-dessus de la tête et tient de l’autre main un fragment sculpté qui montre une tête surmontée d’un chapiteau dorique. Sculpteur Louis Villeminot. 1882 |
| 4 rue Férou | Tête de satyre, décor très fin |
| 4 rue Monsieur le Prince | Battants très sculptés. Fenêtre encadrée d’un décor de pierre au-dessus de la porte |
| 48 rue Jacob | Belle porte cochère arrondie, rosace et rinceaux sur le tympan |
| 5 rue Joseph Bara | Mascaron masculin qui tire la langue |
| 5 rue Saint Benoit | Deux chiens assis encadrent le linteau orné de rinceaux de feuillages |
| 50 rue de Rennes | Un immense dragon surplombe la porte |
| 52 rue Saint André des Arts | Très belle porte typique du Marais |
| 7 rue Guénégaud | Encadrement de porte en céramique très colorée. A noter : le décor de mosaique du linteau composé d’un vase, de roses, de feuillages et de rinceaux. Le sommet du linteau est décoré d’une feuille d’acanthe |

